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12.12.2016, 15:37 | |
1961.01.29
Фрагмент беседы, который, по ошибке, не вошёл в аудио запись 27 января 1961 Et dans ce cas-là, il écoutait avec un plaisir évident parce que c’étaient des choses qui n’étaient jamais venues dans ma conscience avant; je ne m’en étais pas occupée de cette façon-là. C’était tout à fait nouveau – pas tout à fait nouveau en principe, mais tout à fait nouveau en activité. Les expériences se multiplient. Un son qui peut amener la force supramentale? Oui, n’est-ce pas, en parlant, je suis remontée à l’origine du son (dans Savitri, Sri Aurobindo décrit cela tout à fait bien: l’origine du son, le moment où ce qu’on appelle «le Verbe» devient un son). Et alors j’ai eu une sorte de (comment dire?) de perception du son essentiel avant qu’il devienne un son matériel. Et j’ai dit: au moment où ce son essentiel deviendra un son matériel, cela donnera naissance à la nouvelle expression qui exprimera le monde supramental. Mais j’avais l’expérience à ce moment-là: ça venait directement. J’ai dit tout cela en anglais, et Sri Aurobindo extrêmement présent, concrètement, presque à toucher. C’est parti maintenant.
Фрагмент беседы 29 января 1961 53 – Les querelles entre sectes religieuses ressemblent à la querelle des cruches dont chacune voulait être seule à contenir le nectar d’immortalité. Laisse-les se quereller. L’important, pour nous, est de trouver le nectar, en quelque pot qu’il soit, et d’obtenir l’immortalité. Quel est ce nectar d’immortalité? Cette conscience d’immortalité... C’est NOUS qui prenons conscience des domaines où existe l’immortalité, mais pour amener l’immortalité dans la conscience physique, ça exige non seulement une transformation de la conscience physique mais une transformation de la substance physique. Alors là... J’ai promis à Nolini de lui montrer cela.
Oui, douce Mère, c’est un problème... Souvent, quand tu me dis ces choses qui sont si importantes, je me dis que j’en profite bien égoïstement – on ne peut pas montrer cela de temps en temps à Pavitra? Tu veux que ce soit absolument gardé, ou bien est-ce que je peux de temps en temps montrer à Pavitra? Mais cela dépend – à Sujata, tu peux lui dire tout ce que tu veux. Moi, je n’ai jamais rien dit. Je ne bouge pas, je ne dis rien. Tu peux lui dire tout ce que tu veux, cela ne fait rien – en lui disant qu’elle le garde pour elle.
Mais autrement... Les choses que tu notes, il y en a que je garde simplement. Mais il y en a que je donne à Nolini (Nolini est, de tous, celui qui peut comprendre le mieux). Je lui donne à lire certaines choses. Mais autrement non. Entre nous c’est tout à fait différent (je te l’ai dit), c’est tout à fait différent. Si tu en profites, tant mieux pour toi! Tu comprends, si cela t’aide pour ton développement intérieur, tant mieux, je n’ai aucune objection, au contraire. C’est tout à fait naturel, c’est la conséquence naturelle [de nos rencontres]. Mais si tu sens que quelque chose peut aider Sujata, si vous parlez ensemble, je n’ai pas d’objection à ce que tu lui dises – simplement en lui disant que c’est entre vous. Jusqu’à présent, je ne dis rien. Tu sais, tu me connais: je ne bouge pas, je ne dis rien. Oui, oh! oui. C’est mieux. Parce qu’il faut se défendre tout à fait. Mais je te dis, avec elle, je n’ai pas d’objection.
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